Marculinos |
Le 07/08/2006 à 16:39 |
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 Viconaute Modérateur |
De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre |
Tobby |
Le 07/08/2006 à 17:30 |
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 Or not tobby |
De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique -- 80% des problèmes ce situe entre le clavier et la chaise |
Jocanak |
Le 08/08/2006 à 00:33 |
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De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres |
Marculinos |
Le 08/08/2006 à 15:25 |
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 Viconaute Modérateur |
De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique |
Sweetdevil |
Le 08/08/2006 à 17:17 |
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 Viconaute ninja |
De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre -- Linux, il y a moins bien mais c'est plus cher. |
Marculinos |
Le 08/08/2006 à 18:45 |
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 Viconaute Modérateur |
De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique |
Wilder |
Le 08/08/2006 à 20:48 |
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 Viconaute Modérateur |
De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Quand soudainement m'apparut cette article --

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Toxinelle |
Le 14/08/2006 à 12:36 |
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Pardon, Joli poussin vert, mais ton vers est un peu trop long non ? On comptait +/- 8 pieds donc, si tu dis " Soudain m'apparut cet article " ça revient au même mais le nombre de pied du vers est à peu près respecté ! OK ? Donc :
De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " -- " ... mais il n'y a aucun amour dans la pensée ..." |
Tigene |
Le 20/08/2006 à 14:35 |
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 Viconaute Modérateur |
De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " Chaussant derechef mes bésicles -- Ce n'est pas parce qu'on a quelque chose à dire, qu'il faut forcément l'ouvrir |
Sweetdevil |
Le 21/08/2006 à 12:06 |
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 Viconaute ninja |
De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " Chaussant derechef mes bésicles Je laissais cours à mon émoi -- Linux, il y a moins bien mais c'est plus cher. |