Jocanak |
Le 21/08/2006 à 17:56 |
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De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " Chaussant derechef mes bésicles Je laissais cours à mon émoi
Voyant arriver le trépas |
Toxinelle |
Le 22/08/2006 à 18:51 |
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De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " Chaussant derechef mes bésicles Je laissais cours à mon émoi
Voyant arriver le trépas Je protégeai mes lunettes -- " ... mais il n'y a aucun amour dans la pensée ..." |
Tigene |
Le 23/08/2006 à 09:30 |
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 Viconaute Modérateur |
De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " Chaussant derechef mes bésicles Je laissais cours à mon émoi
Voyant arriver le trépas Je protégeai mes lunettes afin de voir dans l'au-delà -- Ce n'est pas parce qu'on a quelque chose à dire, qu'il faut forcément l'ouvrir |
Marculinos |
Le 23/08/2006 à 11:14 |
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 Viconaute Modérateur |
De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " Chaussant derechef mes bésicles Je laissais cours à mon émoi
Voyant arriver le trépas Je protégeai mes lunettes afin de voir dans l'au-delà Ce qui se passe sur la planète |
Toxinelle |
Le 24/08/2006 à 12:29 |
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De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " Chaussant derechef mes bésicles Je laissais cours à mon émoi
Voyant arriver le trépas Je protégeai mes lunettes afin de voir dans l'au-delà Ce qui se passe sur la planète
Ne trouvant pas de connexion -- " ... mais il n'y a aucun amour dans la pensée ..." |
Jocanak |
Le 24/08/2006 à 15:53 |
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De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " Chaussant derechef mes bésicles Je laissais cours à mon émoi
Voyant arriver le trépas Je protégeai mes lunettes afin de voir dans l'au-delà Ce qui se passe sur la planète
Ne trouvant pas de connexion Je choisi l'autre solution : |
Marculinos |
Le 24/08/2006 à 16:00 |
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 Viconaute Modérateur |
De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " Chaussant derechef mes bésicles Je laissais cours à mon émoi
Voyant arriver le trépas Je protégeai mes lunettes afin de voir dans l'au-delà Ce qui se passe sur la planète
Ne trouvant pas de connexion Je choisi l'autre solution : Procéder à une inversion |
Toxinelle |
Le 24/08/2006 à 17:05 |
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De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " Chaussant derechef mes bésicles Je laissais cours à mon émoi
Voyant arriver le trépas Je protégeai mes lunettes afin de voir dans l'au-delà Ce qui se passe sur la planète
Ne trouvant pas de connexion Je choisi l'autre solution : Procéder à une inversion Et une solide sélection ! -- " ... mais il n'y a aucun amour dans la pensée ..." |
Jocanak |
Le 24/08/2006 à 21:32 |
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De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " Chaussant derechef mes bésicles Je laissais cours à mon émoi
Voyant arriver le trépas Je protégeai mes lunettes afin de voir dans l'au-delà Ce qui se passe sur la planète
Ne trouvant pas de connexion Je choisi l'autre solution : Procéder à une inversion Et une solide sélection !
En sortant ma machine magique, |
Toxinelle |
Le 25/08/2006 à 03:31 |
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De cette histoire, je ne veux point ! Elle me revient de loin en loin, Ca veut rien dire, j'ai l' rhume des foins : Les mots gigotent comme des babouins.
Sortant de l'antre de l'espoir, Enlacée de voile de cafard A peine sortie de mon coltard Pourtant avide de savoir
J'ouvris le grand livre noir Et je repris le chapitre en train, L'avion me rendant couard. Je me jetais sur mon voisin.
Lorsque son teint devint blafard Et constellé de taches de son, Il dégaina son gros pétard Puis dépiauta mes prétentions.
L'avion faisant mine de descendre, Je succombais à la panique C'est alors que sans plus attendre Je pris un autre barbiturique
Ainsi à l'abris des esclandres Et sous ce ciel magnifique Je commençais à me détendre Dans cette ambiance romantique
Soudain m'apparut cet article: " Crash et désilusion du moi " Chaussant derechef mes bésicles Je laissais cours à mon émoi
Voyant arriver le trépas Je protégeai mes lunettes afin de voir dans l'au-delà Ce qui se passe sur la planète
Ne trouvant pas de connexion Je choisi l'autre solution : Procéder à une inversion Et une solide sélection !
En sortant ma machine magique, Je dupliquai le livre noir
Te voilà de retour Jocanak, es-tu satisfaite du boulot littéraire des viconautes ? -- " ... mais il n'y a aucun amour dans la pensée ..." |